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UN CONSTAT : « Aujourd’hui, on entend partout que la jeunesse ne croit plus en rien, qu’elle n’a plus de rêve, plus de modèle. C’est un discours trop souvent entretenu par ceux qui la craignent ou cherchent à la contrôler. Pire encore, cette idée semble faire son chemin et gangréner les ambitions mêmes de la jeunesse, qui finit par se convaincre de son impuissance. De la menace climatique à la défiance envers les classes dirigeantes en passant par les inégalités grandissantes, il existerait une multitude de raisons pour justifier ce repli des jeunes, ici en France ou à l’étranger. Pourtant, pour nous quatre à l’origine de ce projet, ce n’est pas la jeunesse comme nous la percevons. Alors, nous avons décidé de réaliser « Dreamland » avec un objectif simple : inciter les jeunes à s’autoriser à rêver et à se donner les moyens de leurs ambitions ».
L'OEUVRE : « Notre documentaire est une proposition de voyage à la rencontre de la jeunesse du monde entier. Pendant 80 minutes, ils nous parlent d’eux, de leurs expériences de vie, de ce qui les a construits mais aussi et surtout de leurs rêves, de leurs engagements et de l’avenir. Au long de cette œuvre d’art poétique et humaniste, on comprendra qu’il est encore possible de rêver et que bien souvent les rêveurs finissent par être des entrepreneurs, au sens large. Nous avons voulu réaliser un film simple et limiter les artifices. Pour cela, nous avons choisi de faire parler directement les jeunes face à la caméra, au centre de l’écran. Par souci d’authenticité, les différentes langues ne sont pas doublées, ce que vous entendez, c’est la voix véritable de la jeunesse. Enfin, nous avons très tôt fait le choix de travailler avec 3 artistes talentueux pour composer une bande originale puissante et accompagner des moments d’interlude musicaux qui se mêlent aux paysages de notre aventure ».
MISE EN ABÎME : « Dreamland » « c’est d’abord le rêve de Paul, qui souhaitait réaliser un film pour encourager ses amis à oser rêver. Et puis, au hasard de rencontres, il a croisé la route de Théophile, Agathe et Julie, d’autres rêveurs. Tous ensemble, nous avons pris conscience de notre optimisme et nous avons formé un rêve commun, celui d’être capables d’aller au bout de notre aventure ».
(Source : dossier de presse du film)